En grandissant, beaucoup d’entre nous perdent contact avec notre imagination et notre monde intérieur. Certains se fâchent même franchement avec l’écriture, ou en prennent peur.
Pourtant, l’écriture créative peut être un formidable espace de liberté et de respiration, un temps pour soi pour prendre de la distance avec nos soucis du quotidien.
Elle peut aussi être un moyen ludique de se réapproprier des règles et codes du langage.
Redécouvrir le plaisir de raconter des histoires et apprivoiser ou se réconcilier avec l’écriture
Au cours de ces ateliers, l’élève redécouvre le plaisir d’imaginer et de raconter une histoire ; il stimule son imagination et son monde intérieur en le couchant sur le papier.
Certains peuvent se réconcilier avec l’écriture et gagner confiance en eux et en leur capacités rédactionnelles ; ils apprennent notamment à construire une histoire et à l’organiser, à faire un plan et un brouillon, à s’interroger sur son premier jet pour l’améliorer.
L’écriture créative est aussi un moyen plus ludique de s’approprier (ou se réapproprier) les codes de la langue française : j’aborde, avec les collégiens et lycéens en particulier, un certain nombre de concept et de règles enseignées dans leurs cours de français : différence entre auteur et narrateur, les différents modes et temps de narration et leurs usages, règles de grammaire…
La grammaire et l’orthographe, cependant, ne doivent jamais devenir des barrières : l’imagination et la maîtrise de la langue française sont des choses complètements distinctes, et il est tout à fait possible d’imaginer un récit passionnant sans maîtriser l’orthographe ! Je donne toujours la priorité au récit, à l’imaginaire, à la voix de l’élève.
Des ateliers pour se découvrir
On trouve aujourd’hui beaucoup d’ateliers proposant des exercices d’écriture dite « sous contrainte », dans lesquels les élèves doivent écrire des textes en répondant à des contraintes variables (« à la façon de », sur un thème particulier, en partant d’une phrase donnée, etc.). Si ces contraintes sont, pour certains, un moyen de canaliser et guider l’imagination, elles ne favorisent pas toujours l’émergence d’un texte personnel, de l’histoire que l’élève veut raconter.
Dans ces ateliers d’une durée et fréquence variable selon l’âge, les attentes et les disponibilités de chacun (une à deux heures, hebdomadaires, bi-hebdomadaires, mensuels…), j’engage une conversation avec chaque élève pour l’aider à explorer son imaginaire et trouver sa propre voix. Certains ont déjà un projet que je les aide à formaliser et à développer, d’autres ne viennent qu’avec la volonté de raconter des histoires, d’explorer leur vie intérieure ou de développer leurs compétences rédactionnelles… Le format d’atelier individuel, ou en petit groupe (4 élèves maximum), permet de répondre au mieux aux envies de chacun.
Les élèves peuvent travailler pendant l’atelier, mais aussi de leur côté, dans leur temps libre entre chaque atelier, et m’envoyer leur travail par mail pour que je puisse le lire en amont de l’atelier et en discuter avec eux de vive-voix.
Modalités pratiques
Ateliers de fréquence et durée variable selon les envies, moyens et disponibilités de chaque élève (1 à 2h d’atelier, hebdomadaire, bi-mensuel, mensuel…)
Les ateliers peuvent être individuel ou en groupes de 4 participants maximum (les prix sont dégressifs avec la taille du groupe, voir la grille des tarifs).
Les ateliers peuvent être organisés au domicile de l’élève ou (avec l’accord des parents) dans un lieu public (parc, café, etc.).
Il est également possible, sur demande, de proposer des éditions des textes des élèves (édition ebook au format .epub ou impression, tarif selon la taille du projet).
Tarifs
Atelier particulier : 30 € / heure (tarif réduit * à 20 €)
Groupe de 2 élèves : 22 € / heure / élève (tarif réduit * à 15 €)
Groupe de 3 élèves : 20 € / heure / élève (tarif réduit * à 13 €)
Groupe de 4 élèves : 18 € / heure / élève (tarif réduit * à 12 €)
Ces prix incluent la relecture d’un texte envoyé en amont de l’atelier.
* Le tarif réduit est réservé aux élèves et familles pouvant justifier d’un quotient familial annuel inférieur à 24 000 € (ou mensuel inférieur à 2 000 €).